La visite du conseil de l'Europe se fera de 17h à 18h; il faudra être présent a 17h précise.
Badges d'accès ; la liste des participant devra participants devra être transmise au plus tard le mardi 21/10 à midi.
N'attendez pas pour vous inscrire. !!
16h30-17h00 Accu&eil
17h00-18h00 Visite du conseil de l'Europe
18h00-18h45 DEEP - NIS2
NIS2 état des lieux - Démarche
NIS2, l'étape initiale avant de déployer des solutions
La cybercriminalité connaît une croissance exponentielle depuis la fin des années 2000. À tel point que son impact sur l’activité économique en France représentait plus de 110 milliards d’euro en 2024, selon l’institut Statistica. C’est précisément pour faire face à cette « intensification des cyberattaques en Europe » que l’Union européenne a adopté la directive NIS2 en décembre 2022.
En cours de transposition en France à travers le projet de loi « Résilience » adopté en mars au Sénat, la directive NIS2 constitue en tout état de cause « un changement de paradigme », selon la formule du directeur général de l’ANSSI, Vincent Strubel. En effet, le texte de loi élargit le nombre d’organisations régulées par les pouvoirs publics de 500 à plus de 15 000, et sans doute bien davantage si l’on prend en compte l’ensemble des parties prenantes de la supply chain des 18 secteurs critiques désignés par le texte européen.
De nouvelles exigences
La directive impose une série d’exigences. Par exemple, les organes de direction peuvent être tenus pour responsables en cas de défaillance. Ceux-ci doivent donc disposer d’une bonne connaissance des risques et prendre les mesures nécessaires pour les contrer.
La réglementation définit aussi des mesures minimales de cybersécurité à mettre en place. Elle oblige par ailleurs les entités à notifier des incidents constatés auprès des régulateurs suivant des modalités bien établies.
18h45-19h30 EDOS
IA générative : encadrer les usages pour limiter les risques
L'utilisation de l’IA (générative) nécessite un encadrement rigoureux afin de prévenir les risques juridiques, éthiques et opérationnels. D’un côté, le AI Act introduit un cadre réglementaire structuré fondé sur une classification des systèmes d’IA selon leur niveau de risque. De l’autre, l’absence de gouvernance interne adaptée au sein des organisations pourrait compromettre la maîtrise de cette technologie, en laissant place à des usages non encadrés, des responsabilités floues et des risques accrus.
20h00-22h30 Diner : Chère Amie