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Assemblée Générale 2017

Jeudi 19 janvier 2017 14:00
Lieu : Centre de conférences de l’aar
Assemblée Générale 2017
Adresse du jour :
Centre de conférences de l’AAR 14 AVENUE PIERRE MENDÈS FRANCE - 67300 SCHILTIGHEIM
 
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14h00 Accueil

14h30 Assemblée Générale  (réservée aux membres et partenaires)

ORDRE DU JOUR

  • Rapport moral du Président
  • Rapport financier
  • Rapport des réviseurs aux comptes
  • Nomination des réviseurs aux comptes
  • Rapport d’activité 2016
  • Présentation des perspectives 2017
  • Présentation du budget 2017
  • Elections  (réservé aux membres)
  • Divers (cotisation)

 

 

16h00 - 17h30  ROSACE - La fibre optique en Alsace

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La Région Grand Est a adopté un Schéma Directeur Territorial d’Aménagement Numérique (SDTAN), pour la mise en œuvre d’un réseau d’initiative publique (RIP).
La société Rosace est la société dédiée au projet, chargée de la conception, la construction, l'exploitation et de la commercialisation d'un réseau Très haut Débit en Alsace, indispensable à l’attractivité et la compétitivité du territoire.
Ce réseau 100% fibre optique assurera à terme une couverture optimale de l'Alsace et garantira une offre de services complète et évolutive.
Les partenariats conclus entre Rosace et des fournisseurs d’accès internet locaux et nationaux nous permettent de vous proposer une large gamme de services de qualité à prix compétitifs.
Alain Sommerlatt, Directeur de Rosace, viendra nous parler de ce projet dans la cadre de schéma directeur Aménagement numérique   de la Région Grand Est, et qui va révolutionner les communications et internet en Alsace
 
Puis intervention de la CDC M Benoit Brechon sur le  thème " les enjeux et perspectifs lié à l’aménagement numérique des territoires "  

 

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17h30-19h00  Gestion de crises : Martial Bellon Président de la SIG Basket

 Martial Bellon, président du club de basket de la SIG, est également au conseil de surveillance de la Caisse d’Épargne d’Alsace. Photo  L’Alsace/   Afficher l'image d'origine

L'Alsace mercredi 4 janvier 2017

 

Martial Bellon : de la com’ au basket
Homme de communication, spécialisé dans la gestion de crise – comme pour DHL, en 1996, ou dans le cadre du conflit des routiers, en 2009 – le président du club de basket de la SIG s’est également investi en faveur des personnes en difficulté en présidant Fodier, devenu Alsace Active.

« J’ai été un entrepreneur toute ma vie », résume Martial Bellon. Ce chef d’entreprises est à présent surtout connu comme président de la SIG, le club de basket de l’Eurométropole. Auparavant, son nom évoquait davantage l’homme de communication qu’il est resté.

Fils d’un ouvrier de la sidérurgie lorraine, il s’est tourné vers Strasbourg pour entreprendre des études de sciences économiques, en 1974. Après sa licence, il fait une école de commerce à Paris dont il sort major de promotion. Pourtant, il rêvait d’une autre carrière : « Je voulais être journaliste sportif, mais mon père considérait que ce n’était pas un métier sérieux », glisse-t-il avec le sourire.

Gestion de crises

Il baignera toutefois dans le monde du sport en devenant l’attaché de presse des athlètes français qui s’opposaient au boycott des Jeux olympiques (JO) de Moscou en 1980. Il sera aussi l’attaché de presse d’une entreprise française de revêtements de sol qui était devenue fournisseur officiel des JO de Moscou.

Il fera partie, parallèlement, de l’équipe de rédacteurs de L’Encyclopédie mondiale du sport et deviendra l’attaché de presse du navigateur Philippe Poupon, double vainqueur de la Route du Rhum. « Mais la vie à Paris ne me convenait pas. Le décès de ma mère n’est peut-être pas non plus étranger à mon retour en Alsace où j’ai créé MBA, Martial Bellon et associés, en novembre 1981 », confie-t-il.

Au départ, son entreprise était spécialisée dans la communication au sens large, puis s’est tournée vers la concertation et les débats publics à partir de juillet 1992 : « Dans le domaine du consulting de concertation, nous avons réalisé l’un des tout premiers événements de ce type en France, à savoir le débat sur le projet de TGV Rhin-Rhône », rappelle-t-il. « J’ai une âme de médiateur pour essayer de parvenir à trouver une solution collective à des projets d’intérêt général », estime-t-il.

Pour faire entendre les positions des uns et des autres, alors que les échanges tournent souvent au dialogue de sourds, il met en place des cahiers d’acteurs où chacun précise ses positions pour faire avancer les débats. Il regrette qu’on n’y recoure pas davantage en France où chacun campe sur ses positions.

En 2004, il envisage de revendre les parts de sa société aux cadres de son entreprise - employant une quinzaine de salariés et devenue Menscom entre-temps - projet qui aboutira en 2008. « Aujourd’hui, j’exerce seul comme consultant dans le domaine de la gouvernance territoriale ou de la stratégie auprès de grands maîtres d’ouvrage comme la SNCF ou Voies navigables de France, autour en ce moment du projet de canal Seine-Nord », indique-t-il.

 

Soutien aux personnes en difficulté

Martial Bellon est aussi intervenu, à la demande du ministère des Transports, pour gérer le conflit des routiers, en décembre 2009 afin de trouver un compromis et d’éviter une paralysie du territoire. Il avait aussi géré la communication de crise de DHL à la suite de la mobilisation des Strasbourgeois contre le projet d’implantation d’une plate-forme à Entzheim, en 1996. Il est élu, en 1994, président de Fodie qui deviendra Alsace Active. Il est resté président d’honneur de cette structure chargée d’aider les personnes en difficultés grâce à des garanties bancaires pour faciliter la création de leur entreprise.

Il fut conseiller municipal de Fegersheim de 2008 à 2014, mais n’en garde un bon souvenir : « Ce n’est pas ma meilleure expérience », relève-t-il avec euphémisme ; « J’ai été très déçu par les gens qui n’ont plus le sens de l’intérêt général ». Il s’investit cependant dans Strasbourg pour l’Europe, une association qui œuvre pour le rayonnement de ville qui a, entre autres, relancé le Marché de Noël. Il est aussi, depuis 2000, membre du conseil de surveillance de la Caisse d’Épargne d’Alsace et président de son comité d’audit.

Parallèlement, il trouve le temps d’écrire un livre, Collection Schlumpf, une folie superbe , dont il sera également l’éditeur et qui sera tiré à 40 000 exemplaires.

Survient dans l’intervalle une crise à la SIG. « Le maire, Roland Ries, m’a demandé de gérer cette crise. Il souhaitait alors privatiser cette SEM, ce qui avait provoqué une levée de boucliers ». Une privatisation qui est aujourd’hui en cours en même temps que l’agrandissement du Rhenus où évolue l’équipe ( L’Alsace du 30 janvier). Nommé le 29 mai 2010, président du directoire de la SIG pour une mission qui ne devait durer que quelques mois, il est encore aux commandes de ce prestigieux club sportif qui s’est hissé parmi les plus grands d’Europe avec ses joueurs de talents emmenés par leur entraîneur Vincent Collet.

Il passera les deux premières années à combler le déficit du club qui tournait avec un budget de 3,9 millions contre 6,5 millions aujourd’hui. « C’est le meilleur club français en saison régulière - donc hors play off - des cinq dernières saisons, se hissant trois fois en finale en 2013, 2014 et 2015 manquant malheureusement le titre de champion », regrette-t-il.

La soirée du 13 novembre restera longtemps gravée dans la mémoire de Martial Bellon : « Nous avons battu le champion d’Europe en titre, le Real de Madrid. Et après le match et les interviews, j’apprends que des attentats ont eu lieu à Paris. J’ai donc été pris entre deux sentiments opposés d’autant que mes deux enfants étaient dans la capitale et que je n’ai été rassuré sur leur sort qu’à 1 h du matin, vous imaginez mon angoisse ».

Diner :

Restaurant la Carambole

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Vous connaissiez la Carambole? Du moins, le pensiez-vous. Au début de l’an 2014, elle a déménagé au 3e étage d’un neuf immeuble dans le goût Bauhaus, en gagnant deux numéros seulement, sur la moderne avenue Mendès France de Schiltigheim. Y officie toujours le fringant, beau garçon et malicieux Frédéric Lefèvre. Ce natif d’Eschau, demeuré quatre ans au Cerf à Marlenheim, formé au Vieux Couvent à Rhinau, chez les Abrecht, passé chez Gérard Goetz, à l’enseigne de Julien à Fouday, sans omettre le Buerehiesel du temps d’Antoine Westermann, joue résolument une partition légère, méditerranéenne, non alsacienne dans un cadre moderne et panoramique. (Gilles Pudlowski)
 

 

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